PEL ou Assurance vie en fonds euros?

Bonjour Ă  tous,

Livret A et Ldd étant pleins, je pensais ouvrir un PEL.
Cependant, je constate que les Assurances Vie en Fonds euros sont évoquées souvent et très régulièrement.

Pour commencer, le sont-elles évoquées le plus souvent par des personnes ayant déjà des PEL ?

En préambule, les limites suivantes du PEL ne paraissent pas dérangeantes :
– les sommes minimums par mois ou années restent raisonnables :+1:,
– la clôture avant la fin n’est pas un frein et ne devrait pas avoir lieu, ayant comme je disais déjà un Livret A et LDD déjà pleins :+1:.

  1. D’une part et pour le novice que je suis, pouvez-vous vulgariser le fonctionnement d’une AV en fonds euros :thinking: ?
    En effet, j’ai bien lu qu’elles sont principalement investies en obligations mais l’on entend souvent dire que les obligations ne rapportent pas beaucoup… sont un peu risquées quand même…

  2. D’autre part et suis-je bête peut-être :crazy_face:, mais je ne comprends donc pas l’intérêt d’une AV en fonds euros si le taux net est inférieur à celui d’un PEL :thinking: ?

Enfin et même si le PEL est clôturé, pouvez-vous confirmer que le bénéficiaire ne perd pas le bénéfice de ses intérêts jusqu’à lors :thinking: ?

Merci d’avance pour vos éclaircissements .

Cordialement,
Laurent

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Salut @Laurent_De

Je suis encore en tournée je te fais une réponse détaillée cette nuit.
Mais en gros tu opposes un produit d’épargne à un produit d’assurance qui n’ont ni le même objectif ni la même fiscalité.

Je te conseil de regarder les contrats de capitalisation et on en discute après :blush:

Ps : les fonds euros sont Ă  capitale garanti ( les versements )

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Et pourquoi pas un CEL, qui lui ne se clôture pas si retrait? Même taux que le LEP.La limite : le dépot maximum.

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@Remy_banquier : Merci pour l’idée :pray:

@Faast : et ben très impatient d’avoir ton retour alors :+1:
Déjà, je note bien la 1ère différence entre le Produit d’Epargne d’un côté et le Produit d’Assurance de l’autre.
Hâte aussi d’avoir les réponses à mes questions… et savoir ce qui semble le plus adapté à ma situation. Merci d’avance :pray:

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Re @Laurent_De

La première question a se poser c’est pourquoi ouvrir un PEL ou une AV.
En effet les deux n’ont rien a voir. Comme je te disais plus haut un PEL est une épargne et l’AV un produit d’assurance. Ce support assure quoi? Ta vie ou ton Décès. Mais dans tout les cas le souscripteur ne peut pas être le bénéficiaire donc il faut être vigilant sur ce point.

Je vais essayer de te détailler un peu le principe de l’AV sans être trop technique.

Les deux caractéristiques fondamentales du contrat d’assurance-vie justifient le statut juridique spécifique, conséquences du droit immédiat du bénéficiaire sur le contrat :

  1. Les « sommes Â» (il convient de dire les primes) investies dans un contrat d’assurance sur la vie sont INSAISISSABLES du fait mĂŞme qu’elles n’appartiennent plus au souscripteur dès leur versement (ces sommes sont la propriĂ©tĂ© de l’Assureur qui en contrepartie dĂ©livre une garantie au souscripteur et s’engage irrĂ©vocablement auprès du bĂ©nĂ©ficiaire dĂ©signĂ© qui dĂ©tient ainsi un droit immĂ©diat et inaliĂ©nable sur le contrat).

  2. Les primes versĂ©es n’obĂ©issent pas aux règles civiles de la succession puisque devenues Ă©trangères au patrimoine du souscripteur, sauf cas particulier : « donation indirecte Â» par exemple. TIPS : c’est le meilleur moyen pour esquiver la loi pour dĂ©shĂ©riter les enfants ingrats

Définition synthétique de l’assurance-vie reprenant ces deux éléments distinctifs : contrat, par lequel une personne (l’assureur) va s’engager envers une autre personne (le souscripteur) à lui verser une certaine somme d’argent s’il survit à la date prévue dans le contrat (ex. retraite), ou à une autre personne, si le souscripteur décède.

La désignation d’un bénéficiaire est un droit personnel appartenant au souscripteur, il ne peut donc pas être exercé par son conjoint, ni par ses créanciers, ni par des représentants légaux

Attention a partir du moment ou le bénéficiaire accepte de l’être ce choix est irrévocable !!!

Si tu ne va pas au bout de ton contrat et que tu veux faire des rachats :

Le rachat n’a pas les mêmes conséquences s’il est partiel ou total :

  • le rachat total entraĂ®ne la clĂ´ture du contrat,
  • le rachat partiel permet au souscripteur de disposer d’une partie des sommes investies sans que le contrat ne soit rĂ©siliĂ©. Plusieurs rachats sont possibles, mais chaque retrait est dĂ©finitif, ce qui signifie que le contrat continue de fonctionner, mais sur la base des capitaux rĂ©duits.

Rachat total du contrat

Les produits imposables à l’IR sont égaux à la différence entre la somme remboursée au souscripteur (valeur de rachat du contrat au jour de son rachat total) et le montant cumulé des primes versées (frais de souscription ou de versement inclus) au contrat.

Exemple

  • Contrat souscrit le 1er janvier 2014 avec une prime unique de 30.000 €. Rachat total du contrat le 31 dĂ©cembre 2019 pour une valeur de rachat total de 36.000 €. La plus-value imposable est de 6.000 €. Cette plus-value est soumise Ă  l’IR, soit Ă  la TMI du souscripteur, soit Ă  un prĂ©lèvement forfaitaire dit « libĂ©ratoire Â» (prime versĂ©e avant le 27.09.2017) de 15 %.

Rachat partiel en cours de contrat

Pour déterminer le montant imposable sur ce rachat, la Cie d’assurances applique sur chaque rachat effectué la formule mathématique retenue par l’administration fiscale dans son instruction du 31 décembre 1984, à savoir :

MONTANT IMPOSABLE = MONTANT DU RACHAT - (MONTANT TOTAL DES PRIMES VERSÉES AU JOUR DU RACHAT X MONTANT DU RACHAT) DIVISE PAR LA VALEUR DE RACHAT TOTALE DU CONTRAT AU JOUR DU RACHAT PARTIEL

EXEMPLE :

  • Contrat souscrit le 1er Janvier 2014 avec une prime unique de 30.000 €. Rachat partiel brut du contrat d’un montant de 10.000 € le 31 dĂ©cembre 2019. Ă€ cette date, la valeur de rachat du contrat est de 36.000 €.

Calcul du montant imposable sur ce rachat - application de la formule mathématique de l’Administration fiscale -
10.000 € - (30.000 € x 10.000 € ) / 36.000 € = 1 667 €

Lorsque le rachat effectué fait apparaître une base imposable, celle-ci est soumise à l’impôt sur le revenu selon l’ancienneté du contrat au jour du rachat et la date de versement des primes au contrat. La prime unique a été versée avant le 27 septembre 2017 : la somme de 1 667 € (base taxable) est alors soumise à l’impôt, soit à la T.M.I. du souscripteur, soit sur option au prélèvement libératoire (au taux de 15 %, car le contrat a plus de 4 ans et moins de 8 ans) d’un montant de 1 667 € X 15 % = 250 €.

Contrats d’une durée inférieure à 8 ans :

Le PFO au taux de 12,8 % prélevé à la source par la Compagnie d’Assurances s’impute sur l’impôt sur le revenu dû au titre de l’année sur l’impôt sur le revenu dû au titre de l’année au cours de laquelle il a été opéré.

Les produits attachés à des primes versées depuis le 27 septembre 2017 sont soumis au PFO de 12,8 % ou, sur option globale expresse du contribuable, au barème progressif de l’impôt sur le revenu.

Contrats d’une durée égale ou supérieure à 8 ans :

Le bénéfice des abattements de 4.600 € et 9.200 €: Les produits ne sont soumis à l’impôt sur le revenu qu’après application d’un abattement annuel de 4 600 € (personnes seules) ou 9 200 € (couples soumis à une imposition commune). La fraction excédant ces montants est soumise au prélèvement forfaitaire obligatoire (PFO) ou, sur option globale, au barème progressif. (art. 125-0 À, I et 200 A, I-B-2° du CGI). Le régime d’application de l’abattement n’a pas été modifié par la loi de finances pour 2018. En outre, l’abattement s’applique:

  • en prioritĂ© sur les produits attachĂ©s aux primes versĂ©es avant le 27 septembre 2017,
  • puis pour les produits attachĂ©s aux primes versĂ©es Ă  compter de cette date, sur la fraction taxable Ă  7,5 %
  • puis sur celle taxable Ă  12,8 %.

L’imposition définitive: Lorsque le montant total des encours n’excède pas 150.000 €, le PFO est perçu au taux de 7,5 %. Lorsque le montant des encours est supérieur à 150.000 €, le taux de 7,5 % s’applique au prorata de l’encours ne dépassant pas 150 000 €, la fraction excédentaire étant soumise au taux de 12,8 %. Le contribuable peut opter pour l’imposition au barème progressif de l’IR.

Ensuite tu peux sortir ( vivant ) en capital ou en rente viagère et l’imposition est variable en faction de ton âge. il y a encore pas mal de choses techniques qui en découle .
Si tu en sort par la mort l’AV ne rentre donc pas dans la succession :slight_smile:

A noter que la loi TEPA du 22/08/07 a instauré une exonération totale des droits de succession en faveur : du conjoint survivant, du partenaire de Pacs survivant et du frère ou de la soeur du défunt âgé de plus de 50 ans (ou atteint d’une incapacité l’empêchant d’exercer une activité professionnelle) vivant sous le même toit que le défunt depuis au moins 5 ans.
Désormais, ces bénéficiaires ne sont ni soumis aux droits de succession pour la fraction des primes versées après les 70 ans de l’assuré qui excède 30 500 € ni à la taxation des sommes versées excédant 152 500 €.

« L’allocation d’actif Â» du contrat (le placement des primes par l’Assureur) va dĂ©pendre de la typologie du contrat sĂ©lectionnĂ© par le souscripteur.
On distingue les contrats dits « monosupport Â» : un seul type d’actif accessible, la plupart du temps, un fonds en € (investi principalement en obligations d’État et d’Entreprises dont la caractĂ©ristique principale est la garantie permanente et totale des primes versĂ©es)

la baisse régulière et importante des taux longs depuis la crise financière de 2008 n’est plus à l’ordre du jour. La rentabilité des fonds en € qui représentent encore 85 % de l’encours en assurance-vie va s’en trouver impactée. On constate déjà des hausses substentielles de ces fonds mais aussi des livrets bancaires (Livret A en premier lieu), aujourd’hui à 3 %.

Aucunement.

Toutes les AV n’ont pas le même taux pour les fonds euros. tu en as a 1% d’autre a 2.5% et encore une fois l’interêt d’une AV n’est pas d’épargner :slight_smile:

Oui tu ne perds pas l’année en cours. Tu toucheras les intérêts au prorata temporis au moment de la clôture . le PEL fonctionne à la quinzaine d’intérêt :slight_smile:

bon ça fait déjà un gros pavé ! mais si tu veux entrer plus dans les détailles des % et des abattements fiscaux fait moi le savoir :slight_smile:

En espérant t’avoir un peu aider

De la force !

a-team horreur GIF

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Ce n’etais pas pour moi, mais j’ai compris plein de truc.
J’etais contre les AV je le suis toujours, mais un peu moins.
Merci beaucoup @faast . Reçu 5/5

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Avec plaisir :blush: en vrai c’est surtout utile pour organiser sa succession. Pas vraiment pour ta retraite …

Je me permets de revenir sur quelques propos.

En France on ne peut déshériter son enfant.D une manière ou d autre autre on peut tenter d en avantager un.Mais si le contrat est jugé abusif, ça sera très simple,la somme dessus sera basculée avec le reste de la succession chez le notaire, peu importe le choix du souscripteur.

Ca peut être le cas si on tente de favoriser un enfant OU si monsieur Y a un patrimoine de 500 000€ et comme par hasard il a 450 000 en assurance vie .Il pourrait tout a fait être décidé que le montant placé en assurance vie est abusif et que monsieur a juste tenté d échapper aux frais liés a la succession.

Concernant l acceptation du bénéficiaire ça ne se fait plus trop comme ça.Nous ne sommes plus sur de l irrévocable.Disons que maintenant il faut sortir un avenant si je me souviens bien.Et donc jusqu au bout le souscripteur peut avoir son mot a dire

C’est quand même le charme de notre beau pays quand même… toute ta vie on te taxe et la fin de la fin, tu ne disposes toujours pas de ce que tu as mis des décennies à constituer pour en faire ce que tu veux.

Effectivement on ne peut pas le faire complètement c’était de l’ironie / second degrés j’aurais du ajouter un smiley pour appuyer cette phrase. Néanmoins les actifs d’une Av sorte de la « réserve héréditaire » et n’est donc pas soumis au règle de succession.
Il y a eu des cas de re qualification et l’av a été versé à la réserve. Cependant si vraiment tu veux déshériter tes enfants ou éviter les impôts et autres frais lié à la succession il y a d’autres solutions qui existe. Cf famille Hallyday / famille Delon etc.

Pour ce qui est du bénéficiaire tu peux effectivement le changer par avenant au contrat cependant tu devras avoir une trace écrite que l’ancien bénéficiaire accepte de ne plus l’être. Si il refuse tu ne pourras pas effectuer de changement et il restera jusqu’au dénouement du contrat soit par date prévu soit par décès de l’assuré.

Après que les banques ou courtier n’applique pas les règles stricte c’est possible mais en cas de litiges et jugement il ne fait aucun doute que le bénéficiaire du contrat par avenant sera déchu de ces droits d’allocation des fonds par capital ou rente viagère.
(Cf jurisprudence)

Ah ba ça c’est formidable… et après une partie de la population va dire ouaiii lui c’est le fils à papa il a rien mérité pour avoir telle ou telle chose … ( cf fils Arnault)

Ba en faite c’est juste la loi qui lui impose un % du patrimoine qu’il est OBLiGER de donner à son/ ses enfants :sweat_smile::sweat_smile::sweat_smile:

J ai trouvé ceci

Heureusement qu on en est la.Personnellement les mecs qui se dĂ©pĂŞchent d accepter le bĂ©nĂ©fice pour ‹ piĂ©ger â€ş le souscripteur…je pouvais plus les encadrer pour ĂŞtre honnĂŞte.

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Tu as supprimé ton message mais trop tard je l’avais lu :smiley:
En fait je comprends ce que tu veux dire surtout si on devient sénile et qu’on abuse de nous… Mais il y a le cas ou tu es brouillé avec une partie de ta descendance, que tu ne vois plus pendant des décennies et le seul truc en commun, c’est un nom et un bout d’ADN…

En fait tu sens bien quand même que toute ta vie, le mammouth état va te casser les c… pour prendre sa part sans rien faire.
Comme tu le disais, tu peux favoriser un peu un de tes enfants mais faut le faire finement. Ayant le cas autour de moi, le père est brouillé depuis des années aves ses fils, reste que sa fille. Mais au final, il peut pas dire, mes fils ne font plus partis de ma famille donc je lègue tout à ma fille.
Quand tu vois les embrouilles qu’il peut y avoir lors des successions… parfois tu te dis, vaut mieux laisser 0. Bon dans mon cas, j’ai (et aurai) qu’un enfant ça va simplifier mais faut qu’elle reste sage sinon je dépense tout :smiley:

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Oui ça rend fou :disappointed::exploding_head:

Ben c’est pour ça, que je suis plutot dans une constitution de patrimoine pour améliorer mon quotidien à la retraite ou avoir une fin de vie correct sans avoir besoin de mendier plutot qu’une transmission à ma fille. (même si normalement elle en aura un bout :smiley: )
De toute façon, on vit de plus en plus vieux donc on hérite de plus en plus tard et j’espère que les nouvelles générations n’attendent pas la succession pour commencer à vivre.
Bref, j’ai dévié du sujet principal :wink:

On ne peut déshérité un enfants, c’est une réalité.
Mais une personne a aussi le droit d’utiliser 25% de ses biens comme il le souhaite.
Ce peut donc etre au profit de n’importe qui, y compris un de ses enfants.

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. Les notions de réserve et de quotité disponible

****Certains hĂ©ritiers sont dits « rĂ©servataires Â» : cela signifie qu’il est impossible de les priver totalement d’une
partie du patrimoine du défunt, appelée la « réserve héréditaire ». Cette réserve ne correspond pas à la
totalité des biens : il subsiste une partie du patrimoine, qui peut être librement transmis par testament (ou
par donation), et qui est appelée la « quotité disponible ». Ainsi, grâce à cette quotité disponible, il est
possible pour le défunt d’avantager encore plus des héritiers réservataires au détriment d’autres, mais aussi
d’avantager des personnes qui n’auraient eu aucun droit dans la succession, car elles ne sont pas considérées
par la loi comme des héritiers potentiels (exemple : concubin).
Depuis le 1er janvier 2007, il n’existe plus que deux catégories d’héritiers réservataires : les descendants et, en l’absence de descendants, le conjoint survivant.

Sans enfant la RH ( réserve héréditaire ) est de 0% et la QD ( quotité disponible) de 100%
Pour 1 enfant RH 50% QT 50%
Pour deux enfants RH 66.6% QT 33.3%
Pour 3 enfants et plus RH 75% QT 25%

En italique extrait de mes cours Paris Dauphine “Conseiller en Gestion de Patrimoine”

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Bonjour,

Merci déjà à @jonah33 :+1:, à @Remy_banquier :+1: sur vos précisions supplémentaires :'acceptation du bénéficiaire, 'héritage des enfants…

Merci beaucoup aussi à @Faast pour les explications si bien détaillées sur l’AV :star_struck: !
J’en demandais pas tant mais j’ai ainsi appris tant de choses sur toutes ces notions :

  • notion de prime,
  • notion d’assureur et souscripteur,
  • choix du bĂ©nĂ©ficiaire,
  • notion de versement Ă  date (retrait, dĂ©cès…),
  • notion de rachat…

D’une part même si PEL et AV sont bien différents ET dans ma situation de Livret A et LDD pleins, il me paraît déjà opportun et prioritaire d’ouvrir un PEL.

Bien sûr, je n’oublie pas d’une part ta 1ère distinction entre Produit d’Epargne pour le PEL et Produit d’Assurance pour l’AV :wink:.
La 2ème grande différence est selon moi la désignation d’un bénéficiaire avec l’AV qu’on ne retrouve pas avec le PEL. Je vais donc l’expliquer ainsi mais n’hésites pas à me corriger si je dis des bêtises :rofl: :

  • le PEL revient Ă  placer de l’argent uniquement pour soi, ALORS QUE,
  • l’AV revient Ă  placer de l’argent ET pour soit ET pour un proche (le bĂ©nĂ©ficiaire) Ă  l’avenir.
    Ces 2 supports paraissent donc bien complémentaires !

Mais peut-être j’oublie d’autres aspects avant de prendre ma décision :thinking: ?

En parallèle, j’en entendu parler des contrats d’épargne Moisson ou assimilé selon les Banques.

Un avis sur ces supports :thinking: ?

Bien cordialement,
Laurent