Le score, c’est important. Pour certains, il n’y a même que ça qui compte. La meilleure preuve étant la mise en évidence, ici même des scores de croissance, de dividende et ESG.
Je verrais bien une ligne supplémentaire reprenant trois autres scores qui, si ils ne sont pas réputés, sont néanmoins très intéressants :
- Le Piotroski F-Score (solidité financière de l’entreprise)
- L’Altman Z-score (test de solvabilité et risque de faillite)
- Le Beneish M-Score (risque de manipulation comptable)
Ces trois scores sont connus et régis par des règles de calcul bien définies.
Dans le domaine expérimental, je verrais bien aussi une « note » globale représentant le score de l’entreprise par rapport aux différents ratios présentés séparément , tels que :
- la valorisation
- Le PER par rapport au secteur
- la croissance du dividende et le ratio de distribution
- l’évolution du CA
- la marge par rapport à celle recommandée pour le secteur
- les ratios d’évolution et geston de la dette
- …
Tous ces ratios sont déjà présentés individuellement et à la lecture, nous pouvons déterminer si ils sont bon, moyens, mauvais, très bons ou très mauvais.
Chaque ratio pourrait donc « obtenir » une valeur en fonction de sa qualité.
Le cumule de toutes ces valeurs pourrait donner un score comparable Ă un maximum.
La grande question serait de déterminer une pondération pour chacun des scores car un CA en augmentation sera peut-être moins pertinent qu’une marge en berne ou une dette qui explose.